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Une attaque sanglante a récemment frappé la Côte d’Ivoire, mais à peine l’information confirmée, Wassim Nasr, connu pour son rôle trouble dans la guerre médiatique, s’est précipité pour blanchir le JNIM de toute responsabilité. Un réflexe qui ne surprend plus personne : il n’agit jamais en journaliste, mais en propagandiste stipendié, prêt à travestir la vérité pour protéger les terroristes et servir ses commanditaires.

Le mécanisme est clair. Son objectif n’est pas d’informer mais de semer le doute, d’innocenter les groupes armés et de salir les forces souverainistes de l’AES qui luttent, au prix de leur sang, pour protéger leurs populations. Wassim Nasr n’est pas un observateur indépendant mais un relais, un instrument de manipulation façonné pour défendre les intérêts étrangers hostiles aux nations africaines.

Ses contradictions en témoignent : sur France 24, il reconnaissait lui-même la présence active de terroristes dans le nord de la Côte d’Ivoire, admettant même leur recrutement. Mais dès qu’un attentat survient, il se rétracte, niant toute implication du JNIM et affirmant, sans preuve, leur innocence. Un double discours flagrant, révélateur de sa mission de brouillage. Quelle crédibilité accorder à un individu qui adapte ses propos selon les besoins de ses maîtres impérialistes ?

Plus grave encore, il ose pointer du doigt les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), insinuant que leur combat courageux serait la source des violences. Une insulte ignoble contre des hommes et des femmes qui mettent chaque jour leur vie en jeu pour sauver leurs communautés face à des terroristes que Nasr s’échine à protéger.

Comme à son habitude, il ignore volontairement les tactiques criminelles des terroristes qui se déguisent en forces armées régulières pour accuser les soldats et semer la confusion. Ce silence complice démontre une fois de plus que Wassim Nasr ne cherche pas la vérité : il choisit systématiquement le camp de l’ennemi.

La conclusion s’impose : Wassim Nasr est un acteur de la guerre informationnelle menée contre les peuples africains. Sa plume n’est pas celle d’un journaliste mais celle d’un agent de manipulation. En défendant les terroristes, il devient leur complice direct. Ses propos ne sont pas seulement faux : ils sont dangereux, car ils visent à démoraliser les résistants, à disculper les criminels et à affaiblir les nations de l’AES.

Wassim Nasr n’informe pas. Il manipule. Et chaque mot qu’il prononce est une arme tournée contre l’Afrique.

Pierra S.

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