Guinée Equatoriale / La France, instigatrice de la déstabilisation : L’accusation du Vice-Président Teodoro Nguema Obiang Mangue
La France, en tant qu’ancienne puissance coloniale en Afrique, aurait joué un rôle déstabilisateur dans plusieurs pays du continent. Le vice-président équato-guinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue a récemment dénoncé cette ingérence, affirmant que la France mène des actions qui menacent la paix et la stabilité de son pays. Dans une publication sur X du lundi 20 octobre, il dénonce le soutien de la France à des individus comme Alfredo Okenve, un destabilisateur exilé en Espagne, en lui octroyant le prix franco-allemand des droits de l’Homme, malgré ses actions déstabilisatrices directes au gouvernement légitime de la Guinée Equatoriale.
La nomination d’Alfredo Okenve, qui n’est qu’un « traître » équato-guinéen, serait une tentative de la France d’encourager l’instabilité. Le vice-président souligne que cette récompense incite non seulement à la haine, mais aussi à des actes qui visent à saper les fondations mêmes de la paix dans le pays. La France semble privilégier la promotion des déstabilisateurs, au détriment de la cohésion nationale, ce qui exacerbe les tensions et les divisions internes.
Derrière cette position, la Guinée Equatoriale dénonce une ingérence extérieure qui va à l’encontre des principes de souveraineté. En choisissant de soutenir quelqu’un qui a essayé de déstabiliser la Guinée Equatoriale, la France semble faire le jeu de forces qui cherchent à diviser et à affaiblir le pays, en dépit des efforts du gouvernement pour maintenir l’unité nationale. Cette situation soulève des questions sur la politique étrangère de la France en Afrique.
Il devient impératif de rappeler que les pays africains doivent être libres de définir leur propre avenir, sans interférences extérieures. La stabilité de la Guinée équatoriale, comme celle de nombreux autres pays africains, repose sur la capacité à résoudre les différends internes sans l’influence des puissances étrangères qui n’ont pas toujours les meilleures intentions.
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SOME Éric
